Journal De Bord

Début du travail

10 Juin 2012

Avant de commencer la recherche, j'ai fait un schéma des sujets de la survie en forêt, le voici:

 

18 juin 2012

Je viens de terminer la lecture du livre:

Wiseman, John. SAS Survival Guide. New York, Collins gem, 2010, 384p.

· Ce livre [bien qu’il soit en Anglais] donne une idée très générale de la survie, donnant un petit résumé pour chaque climat qui existe sur terre.

[Ce livre me sera utile en ce qui attrait à la construction d’un abri et sur ce qui devrait être l’équipement minimum de quelqu’un qui part explorer les forêts québécoises.]

(p. 18-22)

· Le nécessaire à la survie (trousse de survie qui comprend : Une boite métallique imperméable de rangement, des allumettes, une bougie, une loupe, des hameçons et lignes de pêche, une boussole, une lampe de poche, une trousse de premiers soins.

(p. 157-167)

·Montre différents types d’abris plus ou moins faciles à construire dans une forêt de conifères et une forêt de feuillus.

[En ce qui concerne la trousse de survie, elle est incomplète selon moi, il faudra trouver une autre source pour compléter celle-ci. Les abris quant à eux sont très bien expliqué et sont tous relativement faciles à construire sans avoir recours à des objets difficile d’accès en forêt tels que des clous ou du fils de fer.]   

 

19 Juin 2012

Aujourd'hui j'ai assisté à une conférence sur les plantes médicinales. Donnée par une herboriste au Jardin Botanique de Montréal seulement pour les amis du Jardin, une association dont je fais parti.

Guye, Sylviane-Mélusine, adresse inconnue, Herboriste-conférencière. (19 juin 2012), Jardin Botanique de Montréal, local 203, 2h, conférence, les plantes médicinales du Québec.

· La conférence portait sur les plantes médicinales du Québec et sur comment les utiliser.

[La conférencière m’a gentiment donné un carnet qui résume très bien ce qu’elle a enseigné durant la conférence des amis du jardin botanique.]

[Le petit guide qui m’a été offert (intitulé Herboriser une trousse verte pendant vos activités de plein-air) comporte une description très détaillée de beaucoup de plantes qu’il est possible de trouver au Québec. Malheureusement, ce carnet ne comporte aucune image, je vais donc devoir trouver une autre source pour montrer au visuels que quelle plante il en est question. ]

(p. 6-9)

· Multitude de plantes qui servent à des incidents mineurs tels que des petites brûlures, des piqûres d’insectes non venimeux et des ampoules aux pieds.

(p. 10-19)

· Utilisation de plantes médicinales pour des cas plus graves telles que des infections, des empoisonnements et des morsures.

(p. 6)

« Ne jamais prendre une plante inconnue avec les mains. »
[Ceci est une affirmation avec laquelle je suis entièrement d’accord. Il est très important d’utiliser les plantes, oui, mais il faut toujours rester sécuritaire. ]

24 Juin 2012

La première chose à laquelle j'ai pensé en parlant de survie sont les premiers soins. Je n’ai pas trouvé mieux que la formation de sauveteur national (très compète au Québec, cette formation donne une vaste connaissance sur les premiers soins) et j'ai donc décidé d'utiliser le manuel: 

s.a. Manuel canadien de premiers soins, Montréal, Société de sauvetage, 2009, 94 p.

·Ce livre comporte toutes les notions nécessaires en ce qui attrait les premiers soins, c’est-à-dire des soins non permanents à prodiguer jusqu’à ce que les secours arrivent.

[Bien que cela soit le livre que j’ai utilisé lorsque je complétais mes cours de sauveteur, je trouve que certaines notions de ce livre sont applicables dans une situation de survie en forêt.]

 

 (p. 12-77)

·Ces pages présentent une multitude de situations qui pourrait survenir (et comment les traiter), en commençant par des cas mineurs tel qu’un simple épuisement dû à la chaleur, finissant par des cas de piqûres et morsures pouvant transmettre la rage.

[Ce livre est une source excellente. Très complète et fiable, cette source me permettra de compléter les défauts de la source #2]

(p. 3)

« Un secouriste est toute personne qui se retrouve sur les lieux d’une urgence… qui prodigue les premiers soins pour préserver leur vie, prévenir l’aggravement des blessures et promouvoir leur rétablissement. »

[Selon moi, toutes personne qui part en forêt doit une formation minimale de premiers soins. Ceci pourrait sauver la vie d’un des membres du groupe.]

26 juin 2012

J'ai visionné un vidéo de 1994 sur la survie en forêt voici le lien et ce que j'en retient. 

Youtube, mrnfquebec (utilisateur). (26 juin 2012). Youtube - broadcast yourself [En ligne]. Adresse URL : http://www.youtube.com/watch?v=7p2PGr6WbWg

 

·Explication de quelques notions de base.

[Captivant, ce reportage de 1994 montre ce qu’il ne faut faire et ce qui ne faut pas faire avec beaucoup de petits détails pertient.]

· Il est inutile de marcher sans savoir où l’on va.

· Il faut commencer à construire le camp quatre heures avant le coucher de soleil.

· Avant de commencer la construction, il faut faire l’inventaire de ce que nous possédons.

· L’idéal serait de ne jamais partir seul et de toujours aviser quelqu’un de votre temps de départ       et temps d’arriver que vous avez planifié avant d’être partit.

· Beaucoup d’information sur le choix du site et comment l’organiser.

· Démontre les techniques en hiver aussi, quelque chose de très rare.

· Techniques pour se faire repérer rapidement.

· La survie en forêt ne veut pas seulement dire que l’on est perdu.

[Cette vidéo m’a fait réaliser que la survie en forêt ne veut pas dire nécessairement qu’on est perdu. Il existe une multitude d’autres cas où les notions de survie sont utiles. ] 

28 juin 2012

Je me souviens de mon expérience malheureuse de camping dans le territoire Algonquin au Nord de l'Ontario lorsqu'un ours est venu nous voler un peu de nourriture. Nous ne savions pas comment réagir ni pourquoi il est venu. J'ai fait quelque recherche et j'ai trouver un site du gouvernement du Québec bien utile:

Ressources naturelle et faune du Québec, Gouvernement du Québec. (28 juin 2012). Vivre en sécurité avec l'ours noir? Une question de responsabilité, [En ligne]. Adresse URL :

http://www.mrnf.gouv.qc.ca/faune/securite/ours-responsabilite.jsp

· Explication de comment éviter une rencontre avec un ours noir et que faire en présence d’un tel animal.

[Ceci est, une des seules sources fiables que j’ai trouvé en ce qui concerne les rencontres avec les ours.]

·Comment éviter une rencontre (limiter les ordures et odeurs)

· Que faire en présence d’un ours noir.

« En cas d’attaque :

• Utilisez une bonbonne de poivre de Cayenne si vous en avez une en votre possession. Visez les yeux. Profitez de son inconfort pour quitter les lieux rapidement.
• Défendez-vous avec tout ce que vous avez sous la main (roche, bâton, hache, rame, etc.). »

[ Ce défendre contre un ours, c’est ce que le gouvernement du Québec nous propose de faire, c’est bien beau, mais dans tout l’article je n’ai pas vu la mention « Ne pas courir ». Il faudra le mentionner dans mon projet. ] 

1 août 2012 

Chaque fois que je m'aventure dans les bois, je me fais violemment attaquer par une armée de moustiques et d'autres insectes piqueurs. J'ai fait une petite recherche en conséquent et je suis tombé sur un site web de plantes qui repoussent les insectes nuisibles et piqueurs:

Radio Rurale Internationale. (1 août 2012). Les plantes locales aident à éliminer les insectes nuisibles,  [En ligne]. Adresse URL :

http://www.farmradio.org/francais/radio-scripts/30-1script_fr.asp

· Liste complète des plantes qui repoussent les insectes piqueurs

·  Comment les préparer

· Consignes de sécurité

[Cette source donne une bonne idée de comment se débarrasser du problème des insectes. Par contre, j’aimerai rajouter que la fumé demeure le meilleur insecticide et que bien peu de personne s’aventure en forêt sans une bouteille de « Off » ou autre produit similaire. ]

 10 août 2012

J'ai consulté deux livres au sujet des plantes et champignons comestibles du Québec. Les voici:

Sicard, Matthieu et Yves Lamoureux. Connaître, cueillir et cuisiner Les champignons sauvages du Québec, Québec, Éditions Fides, 2001, 319 pages.

 

· Ce livre donne une description complète de comment trouver, identifier et cuisiner les champignons.

[Excellent guide en ce qui concerne les champignons, la cuisine par contre, n’est pas adaptée à la forêt dans des conditions de survie.]

 [Nous ne sommes pas tous des professionnels de cueillette de champignons, ce qu’il faut savoir par contre, que tous les champignons de la famille des bolets (ceux dont le chapeau ressemble à une éponge) au Québec sont comestible même cru. Je pense que ceci est très important a savoir, car selon l’expérience que je vis à chaque année dans nos forêts, il y a toujours des champignons. Ceci est donc une source de nourriture très importante.]

(p. 27)

« Ne jamais gouter à un champignons que l’on ne connais pas sans être totalement sûr de sa comestibilité »

(p. 34)

« Ne pas mélangez différent type de champignons à identifier et ne cueillez pas un champignon sur lequel en pousse un autre »

[Ces règles de préventions sont très importantes]

Couplan, Fanrçois. Guide nutritionnel des plantes sauvages et cultivées, Paris, delachaux et niestlé, 1998, 255p.

 

· Excellent guide qui donne simplement les noms de plantes comestible et leur apport énergétique.

[Dans une situation de survie, il est important de manger quelque chose de très nutritif pour éviter la fatigue, la faim et d’autres sensations indésirables, car celles-ci peuvent être synonymes de la peur, de l’angoisse et de la dépression qui sont bien sûr à éviter.]

· Dans nos forêts nous avons une multitude de baies comestibles dont : La framboise, le bleuet, le sureau blanc, la vigne (raisins sauvages) et une multitude d’autre.

[Les baies sont une source importante de nourriture. Importante à cause du goût. En effet, il est bien plus plaisant de manger une baie sucrée qu’un champignon. Le bon goût des baies peut monter le moral à plusieurs membres du groupe ou à une personne en particulier. En plus, les baies contienne plus de sucre que les champignons et donc donnent plus d’énergie.]

[Par contre, tout comme les champignons, il est très important de bien les connaître et de les identifier avant de les manger afin d’éviter le risque d’intoxication et parfois même la mort!] 

23 août 2012 

 J’ai longtemps cherché sans résulta une source sur la santé moral. Ceci est la seule que j’ai pu trouver, c’est pour cela qu’elle est d’une valeur inestimable, bien qu’elle n’ait fait que confirmer ce que je supposais savoir.

Blind, René. (Consulté le 23 août 2012). Randonnée et techniques de la randonnée, [En ligne]. Adresse URL :

http://eurorandonnee.free.fr/Le%20camping%20de%20rando.htm

· Description de l’importance du bienêtre psychologique dans les bois.

«... garantissent une bonne nuit ainsi que le besoin de sécurité. En effet, l’endroit doit être discret et ne pas susciter trop de curiosité : vivre en sécurité c’est vivre un peu caché ! A condition d’être habitué à la solitude. D’autre part, l’endroit où l’on monte la tente doit plaire (belle vue, joli coin ou bois etc…). L’environnement immédiat doit donc être ouvert pour éviter l’impression de claustrophobie. »

« Reconnaître le lieu sur 30-50m de profondeur. On se relaxera en même temps pour découvrir son lieu d’hébergement. On  reconnaîtra tel ou tel fait : arbre(s) remarquable(s), rocher(s), configuration du site de camping par rapport aux éléments planimétriques (sentiers, chemins, routes, …). Ceci est extrêmement important pour repérer, la nuit, l’origine des  bruits insolites et s’y familiariser à l’avance. Une bonne connaissance des bruits de la nature (hululement du hibou, brame du cerf, déplacement des cervidés ou sangliers, etc.…) aide sans conteste. Bref, il faut éviter peur et panique. Mais, au fait, que peut-il se passer de bien grave dans nos forêts tempérées ? Nous répétons qu’une heure d’arrivée bien avant la tombée de la nuit familiarise le randonneur avec son lieu de campement. »

[Bien qu’écris pour le camping, ces recommandations s’appliquent parfaitement pour la survie lorsqu’il faut dormir dans la forêt.]

 

 

26 août 2012

 C'est aujourd'hui que j'ai terminer la partie "compilation" ou recherche, plus simplement. J'ai aussi rajouté des photos de sources pour faciliter la compréhension de ces dernières. 

Voici le lien pour avoir la compilation des informations:

http://ge.tt/4as4hkM/v/0?c 

3 septembre 2012

Je suis aller faire du camping dans les Laurentides afin de prendre mes propres photos de la forêt que je vais utiliser lorsque je vais faire commencer la création.Toutes les photos de mon blogue serons les miennes.

 4 octobre 2012

J'ai pris les photos reliées à l'onglet Trousse de survie. Les photos m'appartiennent ainsi que tous les objets photographiés. Il ne me faudra donc pas indiquer les sources puisque je suis l'auteur.

5 octobre 2012

J'ai commencé la rédaction de l'onglet Trousse de survie. J'ai écris la partie sur les couteaux en utilisant mes propres connaissance, mais aussi Le guide de survie du SAS mentinné dans la compilation des informations.

27 octobre 2012

Le 31 octobre, je dois finir la page intitulé abris. Malheureusement, à cause du temps qu'il fait dehors, mes plans qui étaient de construire un abris pour ensuite le montrer en exemple est tombé à l'eau. Heureusement, je me suis souvenu que durant mon travail au camp Hostyn, j'avais initié les enfants à la construction d'abris de fortune et j'avais même pris des photos.
Les voici:

 

Les instructions de comment faire, je les ai tiré d'un manuel de survie apporté par une des enfants dans le camps. Si des enfants ont pu construire un abris (et y vivre durant une nuit!), un groupe d'adultes pourrait même faire mieux.

8 novembre 2012

L'ongle feu étant à remettre pour demain, je me suis mis à rédiger un texte sur comment allumer un feu. Le problème était avec les photos. Je comptais allumer un petit feu dans ma cours, mais malheureusement, les propriétaires du duplex m'ont interdit de ce faire. J'ai dû vite trouver une solution. J'ai donc clandestinement décider de prendre des photos dans leur four à BBQ qui marche au charbon. J'ai été étonné d'y voir une structure déjà préparé, de la façon décrite dans mon texte. En voici la photo.

J'avais aussi pris des photos au camp mentionné ci-haut. J'en ai choisi une pour améliorer l’esthétisme du blog.

17 Novembre 2012

J'ai entrepris d'écrire le texte sur le volet de l'eau. Après de longue recherches, j'ai trouvé bien peu d'informations sur les cours d'eau au Québec et surtout sur comment identifier une eau potable et non potable. Je me suis donc référé à des connaissances déjà acquises lors de mes multiples voyages en camping vers le nord. D'autant plus que j'avais pris des photos de plusieurs étendues d'eau. Certainement en camping je ne pouvais me permettre de transporter de l'eau sur moi (assez pour la durée totale du voyage). J'avais donc déjà bu plusieurs fois de l'eau de nos lac et rivières et je n'ai jamais été malade.
Les photos que j'ai utilisé ont été prises près du Lac Noir, un peu au nord de Saint-Jean-de-Matha au Québec. J'ai donc les droit d'auteur sur ces photos.

24 novembre 2012

J'ai commencé à rassembler les photos que j'ai pris durant l'été en ce qui concerne la nourriture. J'ai ai trouvé beaucoup, j'ai donc pas besoin de prendre des photos d'internet pour cet onglet.
Voici les photos en question, toutes prises au Québec, durant mes voyages:

 

26 novembre 2012

J'ai écris la partie sur les baies et sur les champignons en me basant sur mes propres connaissance et celles acquises dans la compilation d'information. 

27 novembre 2012

J'ai complété l'onglet nourriture, après avoir renoncer à expliquer les techniques de pêche et de chasse que j'ai, mais qui sont très difficiles à partager via un texte. D'au plus que je juge impertinent de tuer des animaux, cela n'est psychologiquement parlant, pas du tout réconfortant.

4 décembre 2012

Vu que je dois bientôt rendre l'onglet ''les animaux sauvages'' complété, j'ai entrepris de sélectionner les photos des animaux que j'ai pris en photo durant cet été. Voici celles que j'ai décider d'utiliser dans mon projet personnel. 

     Les photos sont à moi et j'en détiens les droits d'auteurs.

5 décembre 2012

J'ai complété l'onglet ''animaux sauvages''. Dans cette même journée, j'ai eu mes premiers commentaires. En effet, j'avais donné mon Email sur un forum d'amateurs de plein air et voici le résultat, ils ont trouvé mon blog! Je me suis fait un plaisir de répondre à certaines de leurs questions. 

6 décembre 2012

Vu que je n'ai pas de photos pour l'onglet ''Premiers soins'' et pour l'onglet ''Se faire repérer'', j'ai décider d'entreprendre, malgré l'hiver, un autre voyage vers le nord, en forêt. Je vais partir Vendredi après midi et je serai de retour avec le matériel nécessaire pour continuer ma création le Dimanche, 9 Décembre 2012. Les préparatif sont fait, je n'attend que le moment de partir. 

9 décembre 2012

Je suis de retour à la maison, j'ai pris beaucoup de photos dans la réserve de Tarmigan. Les voici:

 Un gros merci à Anna et Felix qui ont gentiment posé pour les photos, en échange d'un cours de premiers soins gratuit. 

10 décembre 2012

 J'ai complété l'onglet ''Premiers Soins''. Je tiens par contre à noter qu'un cours de premiers soins est un cours complet de 40h. Je ne peux d'aucune façon résumer un cours de 40h. J'ai donc fait un choix de accident qui à mon avis arrivent le plus souvent. J'ai toutefois préciser que l'information que je donne ne peu d'aucune façon remplacer un cours de sauvetage. Je recommande fortement qu'au moins une personne qui est dans le groupe de ''survie'' sois qualifier pour administrer les premiers soins.

13 décembre 2012

J'ai complété le dernier onglet ''Se faire repérer'' qui ne s’agit en fait que de quelques recommandations. J'ai aussi améliorer l'onglet ''Feu'' en y ajoutant une vidéo que j'ai filmé dans la réserve de Tarmigan, au Nord du Québec. Je remercie d’ailleurs Slava, un des membres du voyage, qui travaille dans le bois à longueur de l'année. Bien qu'il ne puisse pas parler en français, j'ai quand même décider de faire cette vidéo pour répondre à une des question posée dans les commentaires. La question était, est-il possible de faire un feu en hiver?  

 6 février 2013

J'ai présenté aujourd'hui mon projet à 9 élèves en secondaire cinq. Pour plusieurs d'entre eux, c'était quelque chose de nouveau, du jamais vu. Je peux donc fièrement affirmer que j'ai au moin transmi un peu de savoir à mes camarades de classe. Mais cela me dit aussi que personne ne sait rien sur la survie en forêt.

9 février 2013

Il est temps de faire un retour sur mon projet sous la forme d'un rapport. Je me suis longtemps penché sur la question suivante: Comment rendre mon rapport intéressant pour le public, mais aussi pour l'enseignant qui va me corriger. J'ai donc demandé conseil à Anna Margulis, une enseignante d'informatique, pour qu'elle puisse m'aider à trouver une façon originale de présenter mon rappot. Elle m'a conseillé de faire un Presy, qui est en fait une présentation intéractive. J'ai essayer d'en faire un juste pour apprendre à utiliser se logiciel. Voici ma présentation d'essait sur l'adoption des animaux. 

Presentation on Pets (ENGLISH)

10 février 2013

J'ai beaucoup aimé cette idée de présentation intéractive. Je vais donc faire mon rapport de cette façon.  Je l'ai d'ailleur commencé aujourd'hui.

15 février 2013

Après avoir discuté avec mon supperviseur, j'ai compris que je ferais mieux d'écrire un texte comme tout le monde. Il est bien trop compliqué de faire une présentation Prezy ou Powerpoint qui respecterait toutes les restrictions imposées. J'ai donc commencé la rédaction du rapport, version écrite. 

16 février 2013

J'ai terminé la rédaction de mon rapport. J'hésite à le mettre en ligne pour des raison évidentes de plagiat. Je me suis déjà butté à ce problème lorsque j'ai exposé mes travaux scolaires (je le fais encore, mais avec plus d'attention) sur mon autre blog. (www.toubous.blogspot.com)

Voici quelques extraits de mon rapport, tel que mon superviseur m'a demandé avec l'explication:

 

Le travail se faisait de la façon suivante : À chaque date prévue, je remplissais un onglet. Ainsi, les blogs prenaient peu à peu du volume se remplissant d’information et d’images. L’échéancier a toujours été respecté. 

(Respect des dates.)
J’ai grandement hésité avant d’utiliser celles-ci. En effet, pour être sûr à cent pour cent qu’elles sont valides, j’ai essayé les techniques proposées, certaines sans succès, durant l’été 2012. 

(Respect des sources.)

  J’avais d’abord pensé à faire mon rapport sous la forme d’un Prezy. Mais cette application sur internet ne m’a pas permis de faire un travail de grande envergure. Avec cet échec de Prezy je me suis dit de faire un Powerpoint. C’est un moyen de communication très efficace et visuel. Mais j’ai été confronté au fait que non seulement il était très volumineux (plus de 40 diapositives) mais il occupait aussi trop de mémoire (400mb) à cause des photos de haute qualité (mentionné ci-haut). J’ai donc renoncé à tous ces moyens et j’ai utilisé Microsoft Word. 

(Raison pour laquelle j'ai écrit un texte.) 

Par contre, j’ai eu des commentaires positifs de la part de Mme. Sohier, la coordinatrice de tous les projets personnels qui a assisté en partie à ma présentation.

(Commentaires autres que ceux sur le blog.)

La majorité des questions qui m’ont été posées concernaient les animaux sauvages. En effet, j’ai plus captivé mon public avec mes photos et mes histoires qu’avec le projet lui-même.

(Compte-rendu plus concret de ma présentation le 6 février 2013.)

Ce qui ne fait que confirmer ce que je pensais de l’aire d’interaction santé et formation sociale. Pour donner une formation, il est primordial de savoir de quoi l’on parle et de savoir raconter quelque chose d’hors-sujet. En racontant mes aventures, j’ai quand-même pu transmettre les connaissances que j’ai assemblées durant ce projet.

(Ce que j'ai appris sur mon aire d'interaction.)

J’ai non seulement appris une tonne de chose sur un sujet qui m’est passionnant, mais ce projet m’a aussi permis de devenir plus ouvert à mon entourage. J’ai pris un gout particulier à transmettre mes connaissances. J’ai réalisé une panoplie de chose sur moi-même et ce, grâce à un projet que je pensais comme inutile au début. 

(Ce que le projet m'a apporté.)